L’idée que les élèves ont besoin de temps pour accumuler des connaissances (préparation consciente), puis de suffisamment de temps pour digérer l’information (incubation inconsciente de la créativité), est essentielle. C’est dans cette interaction entre ces deux étapes que nous créons une « nouvelle illumination », par l’association et la confrontation d’idées au sein de notre « vivier mental de ressources ». C’est qu’Einstein appelait l’intuition.
Dans notre pratique quotidienne de l’enseignement, cela signifie créer des occasions permettant aux élèves d’explorer un concept selon différents angles, d’utiliser des connaissances issues de différentes disciplines, de participer à des activités extrascolaires valables et de faire preuve d’une bonne observation. C’est là que l’« illumination » se produit parfois et se transforme plus tard en nouveau produit – l’étape de « validation » (évaluation, composition, projet, etc.). À chaque fois que je fais en sorte que cela puisse se produire en classe, je suis surprise par le résultat.
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