Rohit Pothukuchi a obtenu son diplôme de l’IB à la Kodaikanal International School en Inde. Aujourd’hui, il travaille comme avocat à New York et a fondé Standard Indian Legal Citation où il exerce en tant que rédacteur. Il a terminé ses études à l’Université de droit NALSAR à Hyderabad et a obtenu un diplôme de deuxième cycle en droit à l’Université de Californie à Berkeley.
Qu’est-ce qui vous a amené à la Kodaikanal International School ?
J’ai grandi aux États-Unis, et quand je suis rentré en Inde, je cherchais une école internationale multiculturelle qui proposait un grand choix d’options. L’IB semblait tout indiqué et, à l’époque, Kodaikanal était l’un des rares établissements à proposer les programmes de l’IB en Inde.
Quel était votre cours préféré lorsque vous étiez à l’IB ?
J’ai beaucoup aimé mes cours d’anglais, et il se trouve que ma mère enseigne l’anglais à l’IB. J’appréciais la vision globale et la possibilité d’explorer différentes matières. Avec le recul, je regrette de ne pas avoir étudié davantage de matières.
Qu’est-ce qui vous a le plus inspiré dans le programme créativité, activité, service (CAS) ?
Le programme CAS m’a donné envie de poursuivre mes activités de service à vocation sociale après la fin de mes études secondaires. Je trouvais ça très bien de m’impliquer dans ces activités, et j’y participe encore tout en poursuivant mes études de droit à Berkeley. Je pense aussi qu’il est important de découvrir très tôt cette composante de la vie, dès les 11e et 12e années. Cela m’a beaucoup influencé.
Qu’est-ce qui vous a inspiré à Berkeley ?
Le fait d’être dans l’une des universités de recherche les plus prestigieuses au monde, comme Berkeley, peut vous amener à rencontrer des personnes susceptibles de vous aider à concrétiser vos idées. Cette université m’a ouvert de nombreuses portes et m’a apporté de précieux enseignements. Je m’apprête à rejoindre un cabinet d’avocats à New York et bien que j’entame une carrière en droit des sociétés, je garde à l’esprit l’importance de savoir donner en retour et d’essayer d’inclure la dimension sociale dans ce que je fais.
Quels conseils donneriez-vous aux diplômés des écoles internationales qui se préparent à entrer dans une université américaine ?
Vos résultats sont importants, mais essayez aussi de faire des choses qui sortent des sentiers battus. Beaucoup de gens n’ont pas conscience qu’être hors des États-Unis vous offre davantage de possibilités. Il y a souvent bien plus de problèmes à y résoudre et beaucoup de projets singuliers que vous pourriez réaliser pour vous démarquer des autres candidats à l’université. Et puis, aussi, concentrez-vous sur votre moyenne pondérée cumulative et vos résultats au SAT.